AWAE Brithney - 3°1 - 1er Prix
Un concert sur la route du diable
Il était 9 heures quand nous prenons le petit déjeuner, nous devons nous préparer pour le concert qui commence à 21heures à Paramaribo.
Nous étions 5 chanteurs.
Et, toute la journée on était en train de parler. Puis, à 1 heure, nous étions en train de nous reposer. Soudain, Félix ( Fredje) dit cria :
- C’est l’heure, nous devons nous préparer !
Alors Jurman (Le prince) dit :
- Mais c’est pas la peine de crier. Oui, t’as raison, on peut se préparer, comme c’est le Prince, le chef du groupe.
L’heure approche de plus en plus. Nous étions tous stressés. Après, on était arrivé à Albina. Deux voitures nous attendaient, les paparazzis étaient déjà là, nous montons dans les voitures Fredje et Fabien disent (Billi Man) montèrent dans la première voiture, Fredje était assis à côté du conducteur. Nathan dit ( le coq), Xavier dit ( steak frite) et moi montèrent dans la deuxième, la première voiture était partie .
Arrivés vers le pont, nous voyons les pompiers et les policiers surinamais. Nous avons reconnu la voiture de nos amis renversée. Nous avons courus vers la voiture, puis à ce moment là, j’ai vue Billie Man à terre : il était blessé et, à côté, Fredje était Mort.
Alors qu’il était le premier à être prêt.
La route du diable l’a croisé.
FIN
VAN BREE Severine - 3°3 - 2ème Prix
L’homme mystérieux
Il était une fois au pays d’Arménian, une sœur et un frère.
Il était comme les deux doigts de la main, ils ne se séparaient jamais.
Un jour, un homme arriva au village où ils habitaient, il était charmant et beau, très courtois.
Le lendemain, il vint rendre visite à ses voisins, la sœur et son frère, il ne disait pas grand-chose, il ne savait pas quoi répondre à chaque fois qu’ils posaient la question « d’où venez-vous ? ». Il changeait de sujet sans plus attendre. La sœur ne remarquait pas la différence entre mentir et dire la vérité de ce qu’il disait. Elle n’observait que la beauté, le sourire, les yeux et sa voix.
Quelques jours après, la sœur fit remarquer à son frère qu’elle aimait cet inconnu, ce qui n’était pas de l’avis de son frère. Il lui expliqua qu’elle le connaissait à peine et qu’elle se précipitait avec ses sentiments, qu’elle devait oublier cette idée.
La nuit tomba, pendant que son frère dormait, elle alla à la demeure de ce visiteur, elle lui avoua ses sentiments et lui fit part aussi des siens.
Une semaine plus tard, un mariage allait se célébrer. Le frère était très curieux, il se demandait qui allait se marier. Il fit appeler sa sœur pour lui poser la question, elle répondit que c’était elle.
Son frère était choqué. Avec de la colère, il lui dit que tant qu’il respirait, elle n’allait pas se marier avec un homme mystérieux , qu’elle ne lui avait même pas demander sa bénédiction pour se marier et que c’était lui qui s’était occupé d’elle depuis tout ce temps.
Elle se mit en colère à son tour, elle était désespérée. Alors, elle alla prendre le fusil de chasse, son frère pensait qu’elle revenait pour lui demander pardon de cette infamie, il était face au mur et il voulut se retourner pour parler avec sa sœur, qui profita de ce moment pour lui tirer dessus. Son frère lui avait dit que tant qu’il serait en vie ce mariage serait impossible et maintenant qu’il n’est plus vivant : elle pouvait se marier.
Le surlendemain, c’était le jour J, le jour où elle pouvait être liée à quelqu’un. Pendant qu’elle s’habillait, elle remarqua à la fenêtre qu’elle ne voyait pas son fiancé. Elle fonça chez lui pour le voir et remarqua qu’il n’y avait plus ses valises qu’il avait disparu sans laisser de traces. Elle le chercha partout.
Alors avec le désespoir de l’amour, elle se suicida.
FIN
WAARHEID Roseline - 3°4 - 3ème Prix
Le petit Simon
C’était un jour comme les autres, je me suis levé, j’ai pris mon bain et mon petit déjeuner. Quand tout à coup, j’entendis frapper à la porte.
Quand je suis allé ouvrir, c’était un petit jeune d’environ 4 ou 5 ans. Il était blond avec les yeux d’un bleu rayonnant mais il était triste. Il était habillé d’un tee-shirt et d’un pantalon. Je me suis demandé s’il n’était pas orphelin. Je lui ai demandé s’il l’était, et il m’a dit oui. Je me suis dit qu’il avait frappé à toutes les portes mais personne ne voulait le recueillir. Il m’a aussi dit qu’il venait de très loin. Je lui ai demandé d’où venait t-il ? Il m’a dit qu’il ne savait pas . La seule chose qu’il se rappelait c’est que ses parents l’avaient laissé dans une décharge chez un homme.
J’en croyais pas mes oreilles, le pauvre enfant était dans une décharge chez un homme qu’il n’avait jamais vu. Je lui ai fait prendre un bon bain chaud l’ai fait rentrer et j’ai changé ses vêtements. Après son bain, je lui ai préparé un plat, il avait tellement faim qu’il en avait demandé encore. Je lui ai préparé la chambre d’amis qui est juste à côté de la mienne. A vingt et une heures et trente minutes, je suis allé le coucher.
Après l’avoir couché, je suis descendu pour aller voir la télé quand tout à coup je vis l’enfant que j’ai appelé Simon. Il était debout derrière moi et je le vis qui tendait ses bras et qui me poussa dans les escaliers.
Le lendemain matin, j’étais dans mon canapé, devant la télé et soudainement j’entendis le petit Simon m’appeler et me secouer. Il était sur mes jambes , nous sommes allés prendre un bain et je lui ai dit que comme il vit avec moi, il ira à l’école. J’irai faire l’inscription la semaine prochaine. Je pensais que le petit Simon allait être heureux mais il était comme possédé, il disait des choses qui n’avaient pas de sens.
Je suis sorti de la baignoire et j’ai pris mon téléphone pour appeler la police. Mais Simon prit mon téléphone et le lança par terre, ses yeux étaient devenus rouges, et avec une force incroyable, il prit le canapé et le lança par la fenêtre et me poursuivit dans toutes les pièces de la maison.
Heureusement, j’ai pu m’enfuir de la maison. Je courus dans la rue mais je ne vis pas la voiture qui me renversa. Quand soudain, je me suis réveillé tout en sueur et je réalisa que c’était un mauvais rêve.
FIN